27 septembre 2013
Ta voix glisse sur du papier.
L’absence se joue de moi dans ce baiser dépeuplé de tourbe. Aux bouts des pontons qui vont se jeter à la mer, l’aventure de nos chairs connaît toujours la décadence désastreuse du vide. A l’extrémité des mots, un équilibre viscéral s’attache aux heures...