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LA COLLINE AUX CIGALES
31 octobre 2010

Gaston Bachelard

Un être rêveur heureux de rêver, actif dans sa rêverie, tient une vérité de l'être, un avenir de l'être humain. p. 2 Tout rêveur de flamme est un poète en puissance. Toute rêverie devant la flamme est une rêverie qui admire. p. 3 La flamme est un sablier...
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28 octobre 2010

Dans l’abandon de la joie.

Dans l’abandon de la joie.
Je marche à côté d’une joie, dans la proximité de quelque chose qui n’est pas moi. D’un contact sans attouchements. D’une mitoyenneté sans accès direct. Je marche avec la joie prononcée dans l’ombre parallèle. Je la sens tout à côté dans sa buée douce....
28 octobre 2010

Fernando Pessoa

Nombreux sont ceux qui vivent en nous ; Si je pense, si je ressens, j’ignore Qui est celui qui pense, qui ressent. Je suis seulement le lieu Où l’on pense, où l’on ressent. J’ai davantage d’âmes qu’une seule. Il est plus de moi que moi-même. J’existe...
26 octobre 2010

^^- J -^^

^^- J -^^
Rets amincis, drailles inégales, effondrements des mémoires trop chargées et trop lourdes. Ta balafre atavique, native, est comme un ara déplumé de couleurs, comme un ion éclaté, comme un rêve évaporé, comme un sac semé de mots et d’écoles de tous âges....
26 octobre 2010

^^- I -^^

^^- I -^^
Ne rien écrire, sinon l’écueil posé en soi. Ne rien prétendre, sinon la gloire de l’effacement. Je t’écris pour donner à l’émotion sa part poignardée de lumière, pour livrer comme on délivre, pour épuiser les mots de leurs contenus irrémédiablement égarés....
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24 octobre 2010

De même…

De même…
Une fascination tout de même : le temps. Ce miracle de l’éternité réveillée sur le bord de nos gouffres. Cet émerveillement transpirant de l’abandon absolu de son éclaircissement, il donne et reprend, il remonte sans doute de ce lieu où tout est détruit....
23 octobre 2010

Plus que la survivance, la surprise de l’incipit.

Plus que la survivance, la surprise de l’incipit.
Je ne sais toujours pas les raisons qui activent, encore à ce jour, mon gouvernail vers un idéal d’indépendance qui t’englobe. Je ne sais pas, non plus, ce qui arbitre la loyauté et la fidélité à nous survivre les uns les autres. L’enfance succédant à...
20 octobre 2010

Phare effaré d’outre sens.

Phare effaré d’outre sens.
L’inachevé m’a toujours fait pensé au sommeil. Les yeux se ferment sur le cloître de l’existence. La parodie des joies et des misères taillent dans la nuit l’échancrure de ce qui est resté captif. L’invisible se gorge d’indéchiffrables murmures. Dans...
19 octobre 2010

Derrière nous, ce devant inachevé.

Derrière nous, ce devant inachevé.
Ici, chaque mine est à ciel ouvert. Chaque minerai se dissout dans l’impatience qui court plus vite que le battement du jour où le rien devient un sacrifice, et une oblation. Hors de l’édredon du silence roule les visages qui se désempierrent de l’attente....
17 octobre 2010

S’il fallait encore.

S’il fallait encore.
Je crois que tu es confondue au projet de moi. Je crois que tu as activé au cœur de ma conscience, les préambules de mes contraintes et de mes opportunités. Tu sais, j’ai découvert que la densité d’une expérience ne s’achoppe pas forcément en réduisant...
16 octobre 2010

Je ne sais plus de qui ?

Je ne sais plus de qui ?
Une envie de répondre comme si réponse il y avait… virtuelle. Longtemps dans l’enjambée des heures elle ne trouva qu’un pâle reflet à son visage fantôme… Une envie de répondre. A l’errance des conjonctures superposées aux aléas capricieux, son écho resta...
13 octobre 2010

A la bévue d’une aube naissante…

A la bévue d’une aube naissante…
La tendresse n’était pas encore défaite… La caresse au bout des doigts dans le prolongement du sommeil, le parfum des peaux à la virgule du soupir, la fin du noir couché à son extrémité. L’aube aux tempes du jour… Et le silence sur la pointe des pieds...
13 octobre 2010

^^^H ^^^

Dire, est-ce raconter ?
13 octobre 2010

^^^G^^^

La parole a-t-elle une conscience ?
10 octobre 2010

L’amas d’être du désir.

L’amas d’être du désir.
Un désir sans trêve dans la réciprocité illumine la cathédrale qu’il faudra bâtir pour escalader jusqu’à toi. Tracté par je ne sais quelle ardeur, je m’habille de la vitesse de la lumière pour parvenir en l’instant jusqu’aux plus hautes de tes cimes....
8 octobre 2010

7 octobre 2010

Hubert Reeves

« Par nous, la nature se renvoie une image d'elle-même. » - L'Espace prend la forme de mon regard , p. 47 -
7 octobre 2010

Jean Cocteau

« Les mirages sont en quelque sorte le mensonge du désert. » - Les mariés de la Tour Eiffel -
6 octobre 2010

D’un amour rétréci et néanmoins fécond.

D’un amour rétréci et néanmoins fécond.
C’est de notre disponibilité à la vie, à l’amour, que dépend l’arche de nos épanchements. Ne faut-il pas vouloir aimer pour le pouvoir et n’est-il pas de notre responsabilité de faire advenir l'amour ? Je crois voir se dessiner dans la patience et l’effort...
5 octobre 2010

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  • Dépotoir et déposoir de mots, de pensées... Ici repose mon inspiration et mon imaginaire ; une sorte de maïeutique effrénée et dubitative et il me plait de pouvoir partager à qui veut bien.
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