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LA COLLINE AUX CIGALES
16 mai 2008

0453 -

0453 -
Ne t'éloignes jamais du sourire c'est ton plus sur ami ! Danses avec le soleil, tu as raison et fais danser ton sourire aussi. Pas besoin de picole, de staff ou de crash… Les lèvres s’accommodent des plis Et donne au visage tout ce qui lui manque.
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16 mai 2008

0452 -

0452 -
Les mots se sont posés dans l’espace rendu vacant, par la contrition et la rectitude pour en étoffer la dissolution et donner au noir son pouvoir d’absolu néantisation. L’écrit s’est risqué à réveiller les cendres refroidies. Rien ne résista du dit. Et...
15 mai 2008

LEIBNIZ et le bruit de la mer

LEIBNIZ et le bruit de la mer
Leibniz et le bruit de la mer Écouter le bruit de la mer, rien de plus simple? Au contraire, affirme le penseur allemand, rien n'est plus compliqué. Car, lorsque nous pensons ou ressentons une chose, nous ignorons la complexité des éléments qui la composent,...
15 mai 2008

0451 -

0451 -
Il est si tard… tombent les gouttes que l’adversité a transpiré sous les décombres des luttes insoumises à la dérision du jour. Le ciel est bas, gris de ses voiles encerclant l’horizon dans sa toile vibrante de l’écueil qui se repli comme une feuille...
15 mai 2008

0450 - L’homme tragique n’abdique pas.

0450 -  L’homme tragique n’abdique pas.
L’homme tragique n’abdique pas. Faire éclater les évidences du néant précisément pour ne pas s’affliger de l’absurdité qui témoigne par manque ou par consentement. C’est dans le renoncement que vient se fendre l’oubli irréconcilié avec la vie. Paisible...
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14 mai 2008

0449 -

0449 -
Il est le temps des nuées où les plumes sont des poupées et les nounours des chevaliers…Dans les creux, un tissu bleu garde seul les traces. Seule la raison veut donner du sens aux sens. Et la virgule est une altération. La pensée ypérite converge de...
13 mai 2008

0448 - Boire le superflu du soleil… (?)

0448 -  Boire le superflu du soleil… (?)
Boire le superflu du soleil… (?) Se baigner de l’eau dorée reflet du jour, s’éveiller de l’enfance à l’ombrage des feuilles et anticiper le déclin. Je ris, je pleure et je murmure… Je n’ai rien à donner tant je prends chaque fois et m’épuise de cette...
13 mai 2008

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13 mai 2008

Blaise PASCAL

Blaise PASCAL
Blaise Pascal, « Le moi est haïssable » Pure illusion de l'imagination, le moi serait une passion abusant autrui autant que nous-mêmes. L'amour-propre pousse les hommes à paraître plutôt qu'à être, à rêver leur vie plutôt qu'à la vivre. Par Olivia Gazalé...
13 mai 2008

0447 - Ode à la virtus –virtuel- vir-aimant

0447 - Ode à la virtus –virtuel- vir-aimant
Aux limbes en hécatombes sous les bras de l’anesthésie de tout amour virtuel Je t'aimerais jusqu'au bout de toi ! Déjà dans la coquille de mes yeux ta silhouette brille. Mon coeur a aussi des yeux émus, ils t'appellent sous leurs paupières Je creuserais...
12 mai 2008

Sigmund FREUD.

"Au commencement des temps, les mots et la magie étaient une seule et même chose."
12 mai 2008

MERLEAU-PONTY Maurice

Langage - Parole –Pensée La prose du monde, TEL Gallimard, p.8. « La langue dispose d'un certain nombre de signes fondamentaux, arbitrairement liés à des significations clefs ; elle est capable de recomposer toute signification nouvelle à partir de celles-là,...
12 mai 2008

.../...

La trame qui se trame rame de sa mue qui mue d é chue dans la chue é chue Il faut lâcher de sa main l’impromptu déçu et ne recevoir que l’abandon qui dénoue pour s’arrenter la compromission d’avec l’irrésolu. C’est jour de fête, il fait beau… sortons...
11 mai 2008

0446 -

0446 -
Le probable se décline comme une politesse réservée aux archanges des non savoirs et je m’étire du matin de lunes intrépides où se meuvent encore les délires inopportuns qui croisent le chaos des certitudes vertes, encore frêles des gestes qu’elles n’ont...
11 mai 2008

0445 -

0445 -
Ce qui ne s'attend pas arrive, éclabousse ou enflamme, fait vivre ou anesthésie. La tempérance ne s'apprivoise pas, elle s'introduit, se pénètre, s'arpente et se gravite... Là où ailleurs c'est toujours pareil…de l'autre on ne fait que soi...et encore…quand...
11 mai 2008

0444 -

0444 -
Animé par une exaltation bleue, de torrides sénescences vertigineuses coiffent l’insécable parure des libations antérieures… Sensations extatiques s’il en est, je suis seul de moi-même et rempli mon outre de ses cailloux rugueux aux appointances de simulacres....
10 mai 2008

0443 -

0443 -
Apprendre à vivre ou apprendre à mourir… dans la mesure où la vie est un sursis, je m’apprends dans une parenthèse bien singulière.
10 mai 2008

0442 -

0442 -
On n’échappe à soi que pour retrouver la folie qui nous ramène à nous.
10 mai 2008

0441 -

0441 -
Sans l’eau de la vie, pas de larmes.
10 mai 2008

0440 -

0440 -
Il me plairait quelquefois de disparaître plutôt que de mourir.
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  • Dépotoir et déposoir de mots, de pensées... Ici repose mon inspiration et mon imaginaire ; une sorte de maïeutique effrénée et dubitative et il me plait de pouvoir partager à qui veut bien.
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