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LA COLLINE AUX CIGALES
26 mai 2008

501 -

501 -
Je viendrais voir la nuit de tes cendres encore tièdes S’offrir au désir bleu de tes flammes ondulantes Vivantes de leur danse que tes yeux reflètent Sur mes braises incandescentes et ruisselantes Si l’âtre éclaire nos murmures d’âmes brûlantes Au parfum...
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26 mai 2008

0500 -

0500 -
Les petites déceptions de l’inutile cognent sur la vitre comme sait le faire une pluie fine incessante. « J'ai pour me guérir du jugement des autres, toute la distance qui me sépare de moi-même. » Antonin ARTAUD
26 mai 2008

William JAMES

William JAMES
William JAMES : « Le vrai est ce qui est payant » Dans une perspective pragmatique, un énoncé est vrai s'il est rentable. Cette affirmation ne conduit pas pour autant au cynisme. Elle n'est même pas incompatible avec la croyance, selon le philosophe américain...
26 mai 2008

0499 - Ça tire… Satyre…vers le bas !

0499 -  Ça tire… Satyre…vers le bas !
Différent, comme nous tous, comme tout le monde… Différent… qui pourrait se flatter d’être identique ? Lapalissade certes, mais qui ne cesse de remettre en cause. Comme si la différence était associée, jumelée indubitablement à un hors norme. Entrer dans...
26 mai 2008

0498 -

0498 -
La beauté n’est pas un handicap. Seuls les préjugés sont l’handicap. Il faut voir si c’est possible disait l’aveugle, cela dépend de toi répondait le bègue… faut-il que les sourds entendent nos vœux… « Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,…...
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25 mai 2008

0497 -

0497 -
Seule la fiction permet de transcender l’événement brut, de le ressaisir dans ses prolongements les plus intimes pour se transgresser, se convertir, se modifier, s‘entrechoquer de ce que l’on demeure. Retrouver le sens de l’intuition exige l’exil. Chacun...
24 mai 2008

0496 -

0496 -
Il faut passer pour aller Il faut aller pour bouger L’immobile transgresse le mouvement Le figé mue de sa permanence Nous n’enterrons rien Nous prolongeons Six pieds sous terre l’aveu de soi N’est qu’une graine à germer Du jardinier dépend la bouture...
24 mai 2008

.../...

« …Donnes-nous ce dernier homme, ô Zarathoustra, s’écrièrent-ils, fais-nous devenir ce dernier homme ! Et nous te faisons grâce du surhomme !... » - prologue de Zarathoustra page 27 - NIETZSCHE -
24 mai 2008

0495 -

0495 -
Se rapprocher du geste pour en mieux saisir le mouvement, voilà une pensée qui m’effleure et dont je ne saurais dire tant je ne sais qu’à peine marcher, courir ou danser ou grimper. Le corps est cette architecture mécanique où la vie prend vie et s'abreuve...
24 mai 2008

Question :

Question :
Qui te dit que tu n’es pas l’acteur d’un rêve ?
23 mai 2008

Les chevaux de l'amour

C'est un merveilleux poème écrit par un poète français (1920-1951) qui est mort très jeune mais a écrit de nombreuses poésies. Certaines ont été mises en musique par différents artistes (en autre Julos Beaucarne, Morice Benin, Michèle Bernard, Martine...
23 mai 2008

0494 -

0494 -
Lorsque la nuit déborde de l’invisible Lorsqu’elle bave l’odeur des lignes Le parfum des traits alignés aux plages blanches Accorde à l’ombre la lumière qu’elle n’est plus Qu’elle n’a plus, qu’elle ne peut plus être Saccade après saccade Les brumes successives...
23 mai 2008

Question -

Question -
L’homme est-il perfectible ?
23 mai 2008

Question -

Question -
Faut-il enterrer son passé ?
22 mai 2008

0493 -

0493 -
Faut-il quitter son monde pour être en mesure de rejoindre l’autre, ou suffit-il de le mettre en sommeil un temps ? Avons-nous le goût du sacrifice ?
22 mai 2008

Suzanne - Léonard COHEN

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22 mai 2008

0492 - Souffrir la souffrance à n’en plus souffrir.

0492 -  Souffrir la souffrance à n’en plus souffrir.
Souffrir la souffrance à n’en plus souffrir. Et pour quoi faire ? Ce mal qui nous déséquilibre et nous emporte là où les ruisseaux débordent…la souffrance du mal devenue sourde aboie ses souffles aux lunes noires des ciels sans éclats et ce n’est qu’un...
22 mai 2008

0491 -

0491 -
Brusquement Ce soir une lumière s’est éteinte Et de l’obscur au blanc Le clignotant est vertigineux Mais dans ce naïf instant Le ciel a repris son ampleur Et m’a dévoilé ses milliers d’étoiles. Ce qui demeure caché Cependant C’est le feu qui m’incend...
21 mai 2008

0490 - L’imprévu imprévisible

0490 - L’imprévu imprévisible
L’imprévu trace l’imprévisible absout de toute équivoque targuant de ses cercles incessants les bulles évanescentes où se glisse la surprise. L’incertain se déride en un sentiment du temps comme passage de la permanence. Et cette durée est identique à...
21 mai 2008

0489 -

Ce soir oserais-je aller encore mourir de toi Aux creux de tes bois, aux creux de tes doigts Je sais que tes lèvres viendront chercher l’absinthe Dans les plis de mes grises mines étouffées aux replis Des pérégrinations accumulées de mes orages Ce soir...
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  • Dépotoir et déposoir de mots, de pensées... Ici repose mon inspiration et mon imaginaire ; une sorte de maïeutique effrénée et dubitative et il me plait de pouvoir partager à qui veut bien.
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