LA COLLINE AUX CIGALES

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25 octobre 2008

I083 -

Migratoire, aux rythmes des saisons, se connaître autant que de s’ignorer, la sincérité telle une impudique s’aligne aux côtés des grivèleries ostentatoires d’une vérité de soi toujours trop contraignante de sa pureté à cribler le juste de ses peines...

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25 octobre 2008

De : Groucho Marx

« Ne vous fiez pas aux couples qui se tiennent par la main. S'ils ne se lâchent pas, c'est parce qu'ils ont peur de s'entre-tuer. » « Le meilleur moyen de s'endormir est de s'imaginer qu'il est l'heure de se lever. » « Je vous céderais bien ma place,...

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25 octobre 2008

I082 -

C’est toujours pareil, c’est toujours une histoire sans abris. On s’égare sans se perdre puis on se perd sans y croire. De l’utilité à l’autre un vague soupçon de soi que l’on protège comme une icône à l’autel de nos prières. Il n’y a pas d’utilité qui...

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25 octobre 2008

P023 -

Dans cet étang proche de tes salins où repose la fuite du temps Je t’écris sous la robe des ans au peignoir des sentiments Un présent de vérité sans arcade prémonitoire aux relents De l’ennui aux relents des jours qui s’effacent à mille ans Juste une...

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25 octobre 2008

Romain Gary

« Sans imagination, l'amour n'a aucune chance. »

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25 octobre 2008

Paul VALERY

« Ce qui est le meilleur dans le nouveau est ce qui répond à un désir ancien. » - Extrait de Littérature -

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25 octobre 2008

Guillaume APOLLINAIRE

« Vienne la nuit sonne l’heure Les jours s'en vont je demeure. » - Extrait du poème Le Pont Mirabeau -

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25 octobre 2008

Remy de Gourmont

« La pensée fait mal aux reins. On ne peut à la fois porter des fardeaux et des idées. » - Extrait de Promenades philosophiques -

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25 octobre 2008

I081 -

Coincé dans l’épouvante des heures qui n’en finissent pas de rabacher ce qui ne sait arriver, il faut bien s’effondrer de toutes ses frasques pour laisser place aux successions de regrets coupables de n’avoir su. Dans les archives des sens, les mamelles...

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24 octobre 2008

P022 -

Nous plongeons à deux dans le sommeil des mots et des images Mais il nous manque toujours une sorte d’insolence Lorsque le trépas des rêves annonce le jour qui se lève C’est le tissage de notre nuit qui nous imprime à l’unisson L’alliance des corps que...

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23 octobre 2008

007 -

Pour habiller le vide, exister par le mot, par l’écrit, par l’exutoire des soupirs et des sarcasmes.

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23 octobre 2008

006 -

L’excuse de croire est limitée à son savoir, rien n’échappe à la déliquescence. Pour qui respire sa certitude le verbe perd son odeur.

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23 octobre 2008

005 -

L’estime que je me porte est cette lumière qui dresse les ombres autour de moi. L’inconsolable est pervers lorsqu’il ne s’approprie aucun vice.

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23 octobre 2008

004 –

Etre apprécié de nos bribes à moudre les vertus nous laisse bricoler avec nos incurables approximations de nos sagesses. Nos anxiétés ont plus de valeur que nos erreurs. L’expérience de la fatalité provoque nos meilleures créations.

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23 octobre 2008

003 -

L’étau de tes cuisses est devenu le serre-joint des mes exutoires. Je redoute l’expulsion et le rejet autant que tu crains l’abandon. Aussi, je me fuis avant de te quitter.

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23 octobre 2008

002 -

Si de la tristesse j’ai puisé quelques éléments à nourrir mon sourire, alors, il me faut rire aux éclats du flot d’amertume qu’il me reste.

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23 octobre 2008

001 -

Comme dirait l’autre, une vague idée de raison s’impose comme une vague gastronomie ; on ne récuse pas plus une pensée qu’une sauce.

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23 octobre 2008

SCHOPENHAUER

« Le monde est ma représentation ».

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23 octobre 2008

MOLIERE, Dom Juan, acte III, scène 2.

Génie de Molière (… ) DOM JUAN . – Tu te moques : un homme qui prie le Ciel tout le jour ne peut pas manquer d’être bien dans ses affaires. LE PAUVRE . – Je vous assure, Monsieur, que le plus souvent je n’ai pas un morceau de pain à me mettre sous les...

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23 octobre 2008

Arthur Schopenhauer

Arthur Schopenhauer et les porcs-épics Le philosophe, célèbre pessimiste, porte un regard ironique sur les relations sociales, n'hésitant pas à comparer les hommes à des porcs-épics. Par Vincent Valentin L'hiver, les porcs-épics sont ballottés entre deux...

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