Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
LA COLLINE AUX CIGALES
31 décembre 2009

2010 et pourquoi pas 200000010 ?

De l’avenir faisons table rase. L’issue est dans le refoulé de chaque utopie. Là où se recombine le monde dans ses infinis possibles. Demain n’est pas ailleurs qu’ici bercé par le chaos de toute chose. Dans le plus « humain » que les paradoxes chavirent...
Publicité
31 décembre 2009

E - 029 - A l’évanoui.

E - 029 - A l’évanoui.
Les mots courent… Dilettante incongrue. Tous les matins du monde s’agenouillent pour se rappeler le premier. Tête encore vide de sens, mes poings se serraient déjà. Une panique en moi comme si une écharde laissait s’échapper des cris stridents, comme...
27 décembre 2009

^^--^^

Tribulations contrariées. Le jour palpite et sa signature s’essouffle dans le peau à peau qu’il murmure. Je suis la nuit dans le jour et sous mes paupières chaque ombre semble cacher une part inconnue. Mon corps est d’embruns. Lâché à la dérive, mes pensées...
27 décembre 2009

Denis DIDEROT

« [...] si tout ici bas était excellent, il n'y aurait rien d'excellent. » - p.24 - « LUI : [...] dans ce pays-ci, est-ce qu'on est obligé de savoir ce qu'on montre ?MOI : Pas plus que de savoir ce qu'on apprend. » - p.41 - - Le neveu de Rameau - « [...]...
26 décembre 2009

E - 028 - À l’heure brève et coutumière.

E - 028 - À l’heure brève et coutumière.
Partout le manque de davantage, la famine du plus, la disette des mots qui peignent les étoiles, partout la pénurie des cendres des histoires immobiles et l’absence de pluie des heures immédiates. Partout le visage désœuvré des je t’aime qui ne vont pas...
Publicité
25 décembre 2009

Théodore MONOD

« L'arrêt, l'immobilité retrouvée, la tension physique de l'effort soudainement relâchée, c'est une sensation merveilleuse, celle de l'arc débandé. Il vaut la peine de marcher, et de marcher dur, rien que pour le plaisir de pouvoir s'arrêter. Et la joie...
24 décembre 2009

24 décembre 2009

E - 027 - Exutoire brûlant.

E - 027 - Exutoire brûlant.
Il y avait des eaux brûlantes chargées de sédiments, il y avait des feux gonflés de mémoires pures. Et puis des trajets, des va-et-vient continuels, des courses aux circuits fermés, puis ouverts. Des amoncellements de glaises avec des grumeaux flottant...
24 décembre 2009

Maurice MERLEAU PONTY

Maurice MERLEAU PONTY
LE LANGAGE ET LA PAROLE « Beaucoup plus qu’un moyen, le langage est quelque chose comme un être! », - Signes , Gallimard, Paris, 1960, p. 54 « La parole est un geste et sa signification un monde!» - Phénoménologie de la Perception , Gallimard, coll. Tel...
23 décembre 2009

P85 - Civière d’orange.

O loups d’affables rengaines Sous tes dents acérées, la graine De la mort est grande tenancière Du jour clôturé dans les clairières Que la forêt enroule à la hache Des peurs de cristal et d’ébène Carnivores aux yeux rouges qui halènent Le sang encore...
22 décembre 2009

P84 - Une nuit qui plisse.

Dans le tourment de la contradiction Ta bouche est une ile exquise où flotte l’attente. Un fil dédoublé d’un lac d’étincelles Où ballottent les deux faces du monde. Et ton baiser a la candeur des étoiles, Me plonge dans le magma d’un printemps Que l’hiver...
21 décembre 2009

Paul Eluard

« Je t'ai faite à la taille de ma solitude. » - Intime V -
21 décembre 2009

E - 026 - Brèche par où la vie.

E - 026 -  Brèche par où la vie.
J’ai reçu des montagnes qui se dressent jusqu’au jour, leurs silhouettes taillées dans la lumière comme des temples reliant nos esprits aux myriades d’étoiles qui les accueillent. J’ai reçu l’eau des mers mariées aux écumes flottantes, des vagues survoltées...
19 décembre 2009

DESCARTES

« Il n’y a pas d’autres voies qui s’offrent aux hommes, pour arriver à une connaissance certaine de la vérité, que l’intuition évidente et la déduction nécessaire ».
18 décembre 2009

E - 025 - La marche d’ailes.

E - 025 -  La marche d’ailes.
Je marche dans toi. Tu as pris la forme du temps. Tu as pris la forme du cadran de la planète qui tourne doucement. Tu es devenue une durée alors même que tu fuyais toute éternité. L’éternité, disais-tu, n’a de mesure que pour l’instant où l’on s’y accroche....
15 décembre 2009

E - 024 - Je suinte toi.

E - 024 -  Je suinte toi.
Dans le crachin du jour où pleurote la lumière qui ne parvient pas tout à fait à s’instruire du blanc lumineux des foudres incandescentes, je parviens néanmoins à sucer les mots qui débordent des jointures… Ta vie de femme, tu la préserves dans un landau...
14 décembre 2009

^^--^^

^^--^^
Tenter des lieux, imaginer des perspectives, des regards parallèles, des paysages communs et singuliers. Tenter du temps, des heures ancrées, des jours comme des points sur le calendrier. Tenter des repères, des marques, des signes. Hier, sous l’aurore,...
13 décembre 2009

René CHAR

« La vie aime la conscience qu'on a d'elle. » - Trois coups sous les arbres, p.73 -
11 décembre 2009

Dino BUZATTI

« La vraie prière est une fatigue immense. » - L'homme qui voulut guérir -
11 décembre 2009

E - 023 - Guérir, c’est où ?

E - 023 -  Guérir, c’est où ?
On ne peut pas être nés de la dent du temps. Toi et moi, nos mâchoires ne sont plus faites pour broyer, mais pour s’enrober de nos salives et mâchonner le mot avant de l’éructer comme une promesse sans défis. L’altercation avec nos heures n’ont plus rien...
Publicité
1 2 > >>
LA COLLINE AUX CIGALES
  • Dépotoir et déposoir de mots, de pensées... Ici repose mon inspiration et mon imaginaire ; une sorte de maïeutique effrénée et dubitative et il me plait de pouvoir partager à qui veut bien.
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Derniers commentaires
Archives
Newsletter
Visiteurs
Depuis la création 207 326
LA COLLINE AUX CIGALES
Publicité