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LA COLLINE AUX CIGALES
26 juillet 2008

Pablo NERUDA - "Prix Nobel de Littérature 1971"

IL MEURT LENTEMENT CELUI QUI.... Il meurt lentement celui qui ne voyage pas, celui qui ne lit pas, celui qui n’écoute pas de musique, celui qui ne sait pas trouver grâce à ses yeux. Il meurt lentement celui qui détruit son amour-propre, celui qui ne se...
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26 juillet 2008

ARAGON

« Ma vie en vérité commence Le jour où je t’ai rencontrée Toi dont les bras ont su barrer Sa route atroce à ma démence Et qui m’a montré la contrée Que la bonté seule ensemence. » L’Amour qui n’est pas un mot - Le roman inachevé
26 juillet 2008

0578 - La vérité à tout prix… a tout prendre ?

0578 -  La vérité à tout prix… a tout prendre ?
A ne faire que constater l’étendue des dégâts, la cause d’une faiblesse se rit d’elle-même. Personne n’a jamais su me faire aussi mal que moi-même. Quel drôle de jeu que de déposer sur les autres les fagots de ses incompétences. Qui de l’autre ou de moi...
25 juillet 2008

Robert KENNEDY

« Certaines personnes voient les choses comme elles sont et se demandent : pourquoi ? Moi, je vois les choses comme elles pourraient être et je me dis : pourquoi pas ? »
25 juillet 2008

PABLO NERUDA

« Je veux faire avec toi ce que le printemps fait avec les cerisiers. » (extrait, L'AMOUR EN RIME)
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25 juillet 2008

Roger SIMEON

« La foi en l’homme est la forme la plus élevé du désespoir. »
24 juillet 2008

22 - LA JACHERE

22 -  LA JACHERE
Depuis longtemps, depuis l’usure du premier jour, quelqu’un que rien n’appelle à cela, aimerait être une terre en jachère… Le soc de la charrue a tracé durant des années ses longues lignes droites. La terre bonne joueuse a donné chaque fois naissance....
24 juillet 2008

21 - Espoir.

21 -  Espoir.
Un espoir s’éteint aux pieds d’une tristesse renonçante. Ce qui renonce est probablement le déguisement de la tristesse. A titouiller, à triturer l’éphémère pour l’alléger encore de ses marques insolentes, les perspectives imaginées salutaires sans doute...
23 juillet 2008

0577 - Evidemment !

0577 -  Evidemment !
L’évidence… Puisque je ne me reconnais pas d’un jour à l’autre de ce qui m’entoure. Mon regard est le bateau où mes pensées sont au-delà de ma propre personne. Le vague de l’incertain empile les pensées les unes sur les autres et aucune d’entre-elles...
22 juillet 2008

20 -

20 -
Le rêve n’est pas ce lieu illusoire où s’installe l’imaginaire pour seulement en découdre avec l’insupportable réalité, non. C’est aussi la lumière à venir. Tu n’aurais vu qu’une fois une lumière, une toute petite lumière, comment aurais-tu pu l’oublier...
22 juillet 2008

Jacques BREL

"Ce n'est pas l'Homme qui fait le rêve, c'est le rêve qui fait l'Homme."
21 juillet 2008

0576 - Clochardise.

0576 -  Clochardise.
C’est dans le creux du soir que ma pensée se pose. Cet autre moi que je parcours depuis quelque temps déjà tel un pionnier à la découverte d’un espace neuf et vierge, ne serait-il point ce clochard que j’ai entraperçu déjà quelquefois à la lisière de...
20 juillet 2008

19 -

19 -
De ce qui m’a semblé juste je conserve un souvenir blanc et sans bavure.
20 juillet 2008

18 -

18 -
À se tarir d’innocence, la raison emprisonne l’enfance de nos contemplations et nous cerne à en compulser nos livres d’éphémères, là où juste précisément nous sommes dépourvus.
20 juillet 2008

17 -

17 -
Amour et tentations se livrent le combat de la désuétude, l’air transporte l’électricité, l’orage est le seul à pouvoir assouvir le ciel des mansuétudes que le cœur afflige du tonnerre de ses craintes.
19 juillet 2008

.../...

.../...
Et si la beauté était vraie ?
19 juillet 2008

0575 -

0575 -
Tu m’avais dit dans un silence funambule, « je t’aimerais toujours ». Nous avons accompagné cette sentence mortifère jusqu’au trépassement de cet infini. Et nous nous sommes rendus compte que les lacets de nos chaussures étaient défaits. Nous avons terminés...
19 juillet 2008

ALAIN

« Le bonheur ne s’attend pas comme un train, il se fabrique, il se saisit… »
19 juillet 2008

Boris CYRULNIK

[…] « Être susceptible d’illusions, on doit le plaisir à cela. »
19 juillet 2008

Eugène GUILLEVIC

« Au-dessus de toutes ces misères Que tu côtoies, traverses Il y a un espace. L'étonnant C'est que tu n'arrives A cet espace Qu'avec des mots Que tu manies Comme l'oiseau Avec des brindilles Se construit un nid. »
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LA COLLINE AUX CIGALES
  • Dépotoir et déposoir de mots, de pensées... Ici repose mon inspiration et mon imaginaire ; une sorte de maïeutique effrénée et dubitative et il me plait de pouvoir partager à qui veut bien.
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