5 août 2009
→ 98 – Besoin de croire.
Quand je te doute tu pèses l’arbre mort qui flotte sous mes paupières. Résistances tactiles des joints de ma chair, je m’habille alors des frissons de ta soie qui chutent comme des cascades glacières en plein été. Dans le fond de tes yeux l’incendie sans...