LA COLLINE AUX CIGALES

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30 mars 2010

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30 mars 2010

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30 mars 2010

Q4 -

Est-il rigoureux de parler du combat entre la passion et la raison ? La passion est-elle une maladie ? Le fou a t il perdu la raison ?

Posté par lacollineauxciga à 16:33 - Commentaires […] - Permalien [#]

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30 mars 2010

Q3 -

L'ambiguïté des mots peut-elle être heureuse ? Les mots peuvent-ils vaincre l'épée ? En quoi le dialogue favorise-t-il la recherche de la vérité ?

Posté par lacollineauxciga à 16:32 - Commentaires […] - Permalien [#]

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30 mars 2010

A l’échappée.

Rassérénées les impressions de toi courent libres au fond de moi. Le charme ressenti choisit l’espérance plutôt que la possession. L’espoir, on le sait, porte en lui plus de possibles que l’avenir. Tout l’avenir contenu dans l’instant fige le temps à...

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29 mars 2010

Q2 -

Autrui n'est-il qu'un moyen ou un obstacle ?

Posté par lacollineauxciga à 16:27 - Commentaires […] - Permalien [#]

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29 mars 2010

Q1 -

Apprendre à se connaître n'est-il pas à la fois une ambition nécessaire et impossible ? Si la connaissance de soi est utopique, devons-nous pourtant y renoncer ? Peut-on se connaître soi même ?

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28 mars 2010

P88 - Un temps regroupé.

A toi, mon souffle de traverse Des captures imprévues, des balivernes muettes Constellées à l’azur sans fond Qui rumine la lumière à l’intérieur du blanc Le silence est tactile Sur la pointe des peaux gorgées d’horizons Une caresse invisible prodigue...

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27 mars 2010

Engloutis.

S’il fallait dire tout le passé enregistré qui fait écho au silence que nous transportons depuis la nuit des temps jaillirait de l’eau et du sel l’éblouissement encore prisonnier dans la déchirure du noir profond. Il y a en moi une ligne d’horizon qui...

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26 mars 2010

André (Georges) Malraux

« J'ai appris qu'une vie ne vaut rien, mais que rien ne vaut la vie. »

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25 mars 2010

En vouloir jusqu’à l’accablement.

L’arrogance du désir dénonce ta plaie qui s’écoule comme un fleuve sauvage. Tu n’as de toi plus rien à donner aux coursives ouvertes des soifs perdues. Tu n’as que le soudain qui frappe à l’enclos des immédiats. Ses laves qui montent pour surgir tu en...

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25 mars 2010

Les Yeux d'Elsa - JEAN FERRATenvoyé par

Les Yeux d'Elsa - JEAN FERRAT envoyé par MANOUCHKA2304. - Clip, interview et concert.

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25 mars 2010

Unisson à l’illusion.

A la hisse des heures retrouvées dévalant de nos cimes nues et défrichées nos cordées glissent à notre insaisissable passage. Passage sans relâche de nos yeux en quête d’yeux, de nos mains silencieuses aux multiples caresses qui ondulent comme des hoquets...

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24 mars 2010

Friedrich Nietzsche

« Les deux directions. – Si nous essayons de contempler le miroir en soi, nous finissons par n’y trouver que les choses qui s’y reflètent. Si nous voulons saisir ces choses, nous ne rencontrons finalement rien d’autre que le miroir. – Telle est l’histoire...

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23 mars 2010

C5.

… Tu me désaltères comme une mousse bienveillante, tes mains caressent mes plaies comme une pommade apaisante. Je ne te souffre pas. Pas autant que les turpitudes singulières de cet usuel qui est logé et installé dans l’habitude des jours sans éclats,...

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22 mars 2010

Bluff.

Dans la pétulance, le vide s’enfonce comme un couteau. L’éternité de l’instant est cette inaction insoutenable, cette excavation provocatrice, ce trou affamé. L’existence n’achève pas de se défaire… et la volonté et le débraillé de la passion sont dans...

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22 mars 2010

Alain

« Le vrai langage nous prend au corps, non à l'esprit ; ou plutôt il va à l'esprit par voie indirecte. "Cela m'importe, et je n'en puis douter, car cela me remue. Mais qu'est-ce que c'est ? Que veut dire ce signe étrange, ce signe chargé de sens" ? Tout...

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22 mars 2010

Gaston Bachelard

« Ce n'est d'ailleurs que dans le récit de mes renoncements que je prends pour autrui une apparence objective. C'est par la comparaison de nos renoncements que nous avons quelques chances de nous ressembler, c'est-à-dire de trouver ailleurs l'écho de...

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21 mars 2010

Ferrat/Aragon-J'arrive où je suis étrangerenvoyé

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21 mars 2010

Ecrire à l’eau de la bouche.

J’écris pour être compris et non pour être lu. Les mots sont les déshérités du silence. Ils jaillissent de l’obscurité de la mort. Ils sursautent de la rigidité qui les avait fixé comme des coquillages accrochés sur nos navires naufragés. De l’hémorragie...

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