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LA COLLINE AUX CIGALES
5 mars 2011

Globe.

Mon cœur s’accroche à toi comme une mer de porcelaine fêlée. Visage d’ossatures en mille morceaux, tu tournes le dos au corps en miettes.

Dans mes mains comme dans mon sang baignent des rides, longs traits crevassés, où dort le ruisseau de tendres baisers.

Tu grattes la croûte discrète où le brouillard repose, et je découvre des étoiles qu’aucun ciel ne renferme.

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Commentaires
B
Arthé et Jo, merci de vos passages ici.
J
Le vent du globe en soufflant toute ma nuit<br /> A fait luire une étoile diamantée qui depuis<br /> N'a de cesse d'éveiller dans mon coeur ébloui<br /> L'espoir futile de croire en des rêves enfouis.
A
La courbe répond au coeur. C'est sous la voute céleste que nait l'ove féminine.
B
Tu n’as pas à avoir de gène. Prends et envole-toi… puisses-tu arriver au pinacle de tes sentis. Tu sais, on n’a que la liberté qu’on s’octroie. Lol <br /> Bien à toi.
S
"Je découvre des étoiles qu’aucun ciel ne renferme" : hors de ton texte, j'utiliserai bien cette belle phrase pour à tâtons, me promener dans leur espace de liberté.
LA COLLINE AUX CIGALES
  • Dépotoir et déposoir de mots, de pensées... Ici repose mon inspiration et mon imaginaire ; une sorte de maïeutique effrénée et dubitative et il me plait de pouvoir partager à qui veut bien.
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