22 février 2011
-- R007 --
Dans le vibrant du témoignage, c’est à la complainte du brouillard que l’on pioche, c’est la mélodie de l’être vibrant que l’on voudrait saisir dans ses bras comme une présence de chair et de sang. L’absence n’a de cesse de jouer avec les ombres. C’est dans la mer des songes que je vais boire, c’est au vide projeté sur la façade du temps comme un mortier incolore, comme un paysage de montagne cachant sous les nuages les villages des hommes qu’ils recouvrent.
Publicité
Commentaires