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LA COLLINE AUX CIGALES

25 janvier 2008

1435 -

1435 -
Faute de saisir sa conscience, il remit entre ses mains la balance du juste afin de prendre la mesure de l’équité.
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25 janvier 2008

1434 -

1434 -
Tout ce qui est neuf s’assure que le reste soit suffisamment insalubre pour ne plus servir.
25 janvier 2008

1433 -

1433 -
D’un geste sûr, le soleil éclaire tout ce qui n’est pas à l’ombre.
25 janvier 2008

1432 -

1432 -
Du naufrage du temps, ne retenir que l’incertitude de la mer.
25 janvier 2008

1431 -

1431 -
A ce rythme, bientôt, nous aurons de nous, conscience de notre part hybride.
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25 janvier 2008

1430 -

1430 -
Des eaux agitées, on regarde volontiers les troncs d’arbres à la dérive ainsi que tous les flottants embarqués de force par la puissance du dévalement fluvial. On oublie trop souvent de se rapprocher des limons qui jonchent sur les rives, laissés là par...
25 janvier 2008

1429 -

1429 -
Aux croisés des pas, la coïncidence réveille de sa cloche sourde et souterraine, les vérités de soi qui s’étaient endormies par lassitude.
25 janvier 2008

1428 -

1428 -
2008… 21éme siècle… Et dire que nous appelons (encore) Civilisation (et avec toute l’emphase qui convient à ce cérémonial culturel) cette barbarie gluante et balourde… Mes yeux se gaussent des larmes que je n’ai plus.
24 janvier 2008

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24 janvier 2008

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24 janvier 2008

1427 -

1427 -
Repères et prends note de tout ce qu’on dit de toi superficiel, tu y rejoindras ton essence.
24 janvier 2008

1426 -

1426 -
La normalisation au service d’un collectif nécessite l’abnégation de l’individu au profit d’une masse calibrée et sécurisée aux règles de l’exigence qui se contrefous de l’autonomie du cœur.
24 janvier 2008

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Il suffirait de presque rien D’une feuille qui s’envole de ton jardin D’un sourire venu tendre la main D’une lassitude qui s’en va au loin Il suffirait de presque rien De tes lèvres humides sur les contours des plaies Des courbes de tes caresses lovées...
23 janvier 2008

SENEQUE

« Non me cuiquam mancipavi, nullius nomen fero. » Je ne me suis fait l'esclave de personne, je ne porte le nom de personne .
23 janvier 2008

1425 -

1425 -
Un mot vivant est la transformation salutaire par laquelle l’appréciation contenue révèle le parfum de notre impénétrable transparence.
23 janvier 2008

1424 -

1424 -
De l’infini, le paradoxe est de faire toujours le même chemin.
23 janvier 2008

1423 -

1423 -
Il est si bon et si agréable de pouvoir dire : « cela m’est possible, oui, c’est possible » Peut être, est-ce parce que c’est une forme d’activation de la certitude…
23 janvier 2008

1422 -

1422 -
Dois-je me référer à ce que je vois pour penser, ou dois-je plutôt penser ce que je vois ? Nul n’est vraiment aveugle en son royaume, n’est-il pas ?
23 janvier 2008

1421 -

1421 -
Naître n’est que le préambule de la naissance. D’une naissance permanente jusqu’à la mort sur le chemin de l’épanouissement ou rebondit l’étonnement comme un ruisseau de lait. Et l’ivresse du lait qui se caille pour renaître d’encore mille merveilles...
23 janvier 2008

1420 -

1420 -
Du contact de peau à peau, l’une sur l’autre ou sous l’autre ou encore dans l’autre, une douce sensation de fusion et d’éternité qui éjacule jusqu’aux lames du soleil dont je m’illumine.
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LA COLLINE AUX CIGALES
  • Dépotoir et déposoir de mots, de pensées... Ici repose mon inspiration et mon imaginaire ; une sorte de maïeutique effrénée et dubitative et il me plait de pouvoir partager à qui veut bien.
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