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LA COLLINE AUX CIGALES

16 mars 2008

0147 -

0147 -
Certains refusent à se fréquenter de trop prés afin d’éviter de se reconnaître et donc d’avoir peur.
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16 mars 2008

0146 -

0146 -
La culture a cela de bon c’est d’ouvrir nos regards claustrophobes à l’innovation et à la création d’autres modèles. Souvent incompris ou dépréciés car ils nous ressemblent trop.
16 mars 2008

0145 -

0145 -
Dans chaque découverte, dans chaque nouveauté c’est un peu de moi que j’apprends.
16 mars 2008

On ne peut se disputer la lune.

On ne peut se disputer la lune.
16 mars 2008

0144 -

0144 -
La pensée qui se sait est trajet. Mouvement dans un espace ouvert, elle se rétracte juste le temps d’être évoquée pour se diluer aussitôt dans l’entièreté du vide.
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16 mars 2008

0143 -

0143 -
Chargé de son surplus, l’inconscient développe un savoir qui ne peut s’entériner d’aucune raison figée. Il doit falloir aux temps les multi-dimensions de son étendue pour enregistrer un seul grain de folie ou de ce qui nous semble désorganisé.
16 mars 2008

0142 -

0142 -
Pour tout souiller d’une vie il faudrait que les improbables ne soient point parallèles et qu’ils puissent se rejoindre sur un point de notre fragile constance à perdurer.
15 mars 2008

0141 -

0141 -
Faire fond de ce qu’on ressent. S’ouvrir tant qu’il est encore temps, on se fermera toujours bien assez tôt. Civilisations humanisées à coup de cruautés et de charpies enflammatoires de la haine, tout est bâti sur le sang d’innocentes chairs aux mains...
15 mars 2008

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Nuit de soleil. Voir tout en blanc. Les mots fondus opalescents. La pensée en jachère. Cœur en bandoulière. Et le lendemain attendre encore plus.
15 mars 2008

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Ecrire. Verbes et mots, souffles et pensées… En faire trop pour oublier que passez assez a le goût du vide…
15 mars 2008

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D’abord, je fais ce que je veux… Touchez à mon intime disait la fleur blessée, je choisis le soleil que je veux. Et de ces pluies qui n’en finissaient pas, elle buvait jusqu’à plus soif. Ensuite, je fais ce que je peux…
15 mars 2008

0140 -

0140 -
Que reste-t’il des pas perdus… La vie est ce fleuve qui ne cesse de s’écouler vers l’infini. Tout passe et s’en va vers le large. Seules les rives amassent gourmandes les résidus et les limons. Ce n’est que lorsque l’eau s’abstient du transport de ses...
14 mars 2008

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Quand te réveilleras-tu de cet état larvaire qui noue ta vie autant que ton corps. Quand réveilleras-tu ce qui dort en toi ? O nature brisée à l’élan mort, que n’avilis-tu point avec autant de hargne. Il me plairait de te voir en équilibre sur ta ficelle...
14 mars 2008

0139 -

0139 -
Modeste ne s’abstient pas de l’audace que féconde le désir. Connaître pour étancher le senti de ses pulsions incommode seulement la permanence de l’immodestie comme le pur est gâché par le compromis.
14 mars 2008

0138 -

0138 -
Ne laissez personne choisir nos laideurs. Si nos laideurs ressemblent bien trop à celles des autres, alors en changer. En trouver une encore plus vilaine, et se démarquer au plus de possible de ce laid qui nous plait. La beauté est si proche.
14 mars 2008

0137 -

0137 -
L’envie est une cerise sans soleil. Le désir le vent qui plie les arbres.
14 mars 2008

0136 -

0136 -
Il ne suffit de connaître la source du ruisseau pour savoir où court l’eau.
14 mars 2008

0135 -

0135 -
Les ombres ne s’agitent qu’au soleil.
14 mars 2008

0134 -

0134 -
Le vent lui-même s’essouffle là où l’océan n’en finit pas avec lui –même.
14 mars 2008

0133 -

0133 -
Le rêve est le sommeil de l’inaccompli.
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LA COLLINE AUX CIGALES
  • Dépotoir et déposoir de mots, de pensées... Ici repose mon inspiration et mon imaginaire ; une sorte de maïeutique effrénée et dubitative et il me plait de pouvoir partager à qui veut bien.
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