14 mars 2008
.../...
Quand te réveilleras-tu de cet état larvaire qui noue ta vie autant que ton corps. Quand réveilleras-tu ce qui dort en toi ?
O nature brisée à l’élan mort, que n’avilis-tu point avec autant de hargne. Il me plairait de te voir en équilibre sur ta ficelle de vie. Jongler de ton corps et de tes désirs, chanter ton hymne du dedans sans la retenue qui l’emprisonne.
Belle mélangée à la beauté du jour, rayonnante comme ruisselle les sourires fragiles qu’une flamme de bougie retient au creux de ta nuit. Se lever à l’aurore en exprimant sa gratitude au jour neuf qui naît dans son sang. Toi. Juste toi.
Publicité
Commentaires
B
B
-