5 mai 2011
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Des hommes-nouvelles se promènent dans les escaliers qui mènent à l’étage supérieur. De temps en temps, on vide la mer, et, l’homme-gigarette se consume à la mort.
Un shampoing de silence recouvre les cils de l’homme-capuche.
Il y a du vide au bout du doigt qui indique le chemin. Bientôt les friches, bientôt l’azur doré. A l’impossible nul n’est tenu. Sauf.
L’homme-nuit transgressant le noir et dessinant la dent de la lumière.
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