26 juin 2010
Virtuellement… (sic)
Virtuellement…
Tu as préféré la haute voltige dans sa forme la plus désespéré et la plus crispée. L’acte définitif enfante des murmures étalés sur le silence, sur les lèvres des soupirs.
Ce qui s’abandonne aux nuées ardentes du souvenir, ce sont ces immédiats faits de connivences et de vestiges, ces éclats de mémoire embués au fond de la gorge. Tu as rejoins les paradoxes, l’aliénation du non-être dans ses apparences accolées au vivant qui bouscule, au vivant qui transgresse. Tu es parvenue à cette démesure qui se reflète sur des cadrans déréglés et obsolètes.
Tu veilles à présent sur la lueur éternelle des ombres du temps écoulé.
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