18 novembre 2008
P.38 -
Caduc l’esprit ? Que la voix au plus prés du mot l’éclaircisse.
Dans le vivant de ton poème, la trace qui émeut toutes les paroles.
Un cortège de voix sans abysse vient rejoindre la profondeur à l’écho de ta parole.
Tout au fond jouent et dansent les gestes encore vierges de lumière
Ta poésie vivante enflamme ma peau d’enfant qui cherche le baiser qui suture
Sous le halo de tes lèvres à donner la vie jusqu’à mes ombres éteintes.
A tes reflets s’effacent les éclairs de feu de mes yeux plein de larmes
L’espoir s’espère tout seul comme une pluie douce de l’étreinte des aveux
Je ne te pense plus, je ne te songe plus, tu es partout où je suis.
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