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LA COLLINE AUX CIGALES
18 novembre 2008

P.38 -

240308_185732

Caduc l’esprit ? Que la voix au plus prés du mot l’éclaircisse.

Dans le vivant de ton poème, la trace qui émeut toutes les paroles.

Un cortège de voix sans abysse vient rejoindre la profondeur à l’écho de ta parole.

Tout au fond jouent et dansent les gestes encore vierges de lumière

Ta poésie vivante enflamme ma peau d’enfant qui cherche le baiser qui suture

Sous le halo de tes lèvres à donner la vie jusqu’à mes ombres éteintes.

A tes reflets s’effacent les éclairs de feu de mes yeux plein de larmes

L’espoir s’espère tout seul comme une pluie douce de l’étreinte des aveux

Je ne te pense plus, je ne te songe plus, tu es partout où je suis.

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Commentaires
B
Il est plaisant d’être lu et apprécié, merci.
[
Il est magnifique.<br /> <br /> Il me renverse.<br /> <br /> Et la dernière phrase...<br /> <br /> Bonne continuation.
B
Tout se joue, tout existe entre elle et moi dans son absence à l’inventer de ce qu’il m’aurait plu qu’elle soit. Caduc ?<br /> Sourire à toi.
L
Une évidence.<br /> Une prière<br /> Un aveu.
B
«L'amour est toujours devant vous. Aimez !»<br /> - Le surréalisme et la peinture -<br /> <br /> «Je demande, pour ma part, à être conduit au cimetière dans une voiture de déménagement.»<br /> - Extrait du Manifeste du surréalisme -<br /> <br /> André BRETON
LA COLLINE AUX CIGALES
  • Dépotoir et déposoir de mots, de pensées... Ici repose mon inspiration et mon imaginaire ; une sorte de maïeutique effrénée et dubitative et il me plait de pouvoir partager à qui veut bien.
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