2 octobre 2008
I048 -
Le prisme des faces du jour est toujours là, déformant à souhait l’augure des lumières… Mimésis troublante où le râteau des ondes envoie et reçoit dans un mouvement de contraction et de rétractation mimant le cœur.
Sensible la vibration s’accélère ou s’apaise au gré d’un imaginaire sculptant l’irréel tel un nuage blanc dans le ciel des mouvances permanentes.
Satané rêve où les pulsions ne s’interdissent pas l’accès aux volutes et aux spirales pour féconder des cerceaux que l’enfance saisit pour jouer à cache-cache.
Sans doute, copinerais-je trop avec l’amplitude et le restreint m’étouffera bien vite. Mon cercle se déborde…
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