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LA COLLINE AUX CIGALES
13 septembre 2008

I004 -

369_enjolras

A même l’ignorance de tes mots, tu as le regard lascif des oublis que la mémoire régurgite comme une chute interminable devant tes yeux intérieurs. Et puis toi, dans le cri du silence où se meurt la cascade.

Le temps frileux s’enveloppe des heures qui l’ont portées jusqu’à l’épuisement du sommeil et tu dors dans une nuit sans échafaud.

La vue déforme les cœurs à les rendre malades.

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Commentaires
B
Venant de toi, ce compliment me touche, merci.
S
C'est très juste. Très beau.
LA COLLINE AUX CIGALES
  • Dépotoir et déposoir de mots, de pensées... Ici repose mon inspiration et mon imaginaire ; une sorte de maïeutique effrénée et dubitative et il me plait de pouvoir partager à qui veut bien.
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