13 septembre 2008
I004 -
A même l’ignorance de tes mots, tu as le regard lascif des oublis que la mémoire régurgite comme une chute interminable devant tes yeux intérieurs. Et puis toi, dans le cri du silence où se meurt la cascade.
Le temps frileux s’enveloppe des heures qui l’ont portées jusqu’à l’épuisement du sommeil et tu dors dans une nuit sans échafaud.
La vue déforme les cœurs à les rendre malades.
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