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LA COLLINE AUX CIGALES
25 mars 2008

Vrac en vrille...

Vrac en vrille…

Sculptes-toi au rasoir de tes ongles effilés,

Couteau à bois de toi, épissures légères

Copeaux en copeaux

Souffle au vent tes gâchis Parmentier d’amour haché

Stricto sensu

Château de cartes de la diseuse de bonne aventure

Un col roulé non relevé aux aguets des espoirs de brumes nostalgiques

"Le désespoir je supporte mais c'est l'espoir qui me tue." Nietzsche

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Commentaires
E
rem acu tetigisti
B
A trop fréquenté le plat pays sans doute
A
autant en emporte ses golènes
B
Dois-je noter, comment dirais-je, une certaine aversion à l'élan Nietzschéen concernant une idée gauchisante et une colère manifeste à une Ségolène planteuse de choux dans un jardin où tous les légumes sont déjà morts ?
A
les temps approchent où les dérivés du penthotal seront en vente libre : les chinois optimistes n'auront qu'à s'inviter dans la desertitude ségolénique<br /> "ils viennent jusque dans nos bras<br /> olipotiser nos fils et nos compagnes"
LA COLLINE AUX CIGALES
  • Dépotoir et déposoir de mots, de pensées... Ici repose mon inspiration et mon imaginaire ; une sorte de maïeutique effrénée et dubitative et il me plait de pouvoir partager à qui veut bien.
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