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LA COLLINE AUX CIGALES

4 février 2008

1614 -

1614 -
Une indifférence peut-elle cacher autre chose que la non motivation de l’attention ?
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4 février 2008

1613 -

1613 -
De ce qui est à ce que je reçois, une métaphysique du couloir dans lequel chacun peut loger ce qu’il veut.
4 février 2008

1612 -

1612 -
Si l’insoluble de vivre était la solution, poursuivrions-nous nos recherches malgré tout ?
4 février 2008

1611 -

1611 -
L’esprit qui est capable de voir le réel et d’en assimiler son irréalité est forcément un esprit qui a de l’avenir.
4 février 2008

1610 -

1610 -
La lassitude est cet état de désoeuvrement par lequel l’heure de l’ennui conspire contre la féodalité monotone du non consenti qui assomme l’existence des griefs des mœurs dominants.
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4 février 2008

1609 -

1609 -
A se reprocher dans la permanence, les effets de ses causes, on ne peut pas vivre autrement que dans la cupidité de ses angoisses culpabilisantes. Ce n’est pas la muselière que l’on met aux ânes qui trace le chemin.
4 février 2008

1608 -

1608 -
Dans l’accouplement de deux êtres ce qui est subversif c’est de penser comme l’autre.
4 février 2008

1607 -

1607 -
Notre corps est ce phénoménal réservoir à mémoire de tout ce que nous avons vécu. Lui seul se souvient précisément de la première larme et du premier silence, du premier fou rire et du sanglot de la première joie. Peut-être même se rappelle t’il de l...
4 février 2008

1606 -

1606 -
Le trésor c’est notre sensibilité. Notre seule vérité supportable. Notre seule intimité partageable.
4 février 2008

1605 -

1605 -
Du grondement intérieur écouter la révolte pour mieux offrir à son volcan les outils de ses éclatements. Et de cette lave en fusion retenir l’insolite du rougeoiement de nos profondeurs insoupçonnées.
4 février 2008

1604 -

1604 -
Est-il vraiment nécessaire d’inquisionner nos opinions pour les traduire en convictions ? L’exacerbation fustige la mollesse des propos alors que c’est dans la fêlure de notre conscience que s’évadent les fumées vaporeuses de nos perfidies angéliques...
4 février 2008

1603 -

1603 -
Avoir la sensation troublante de n’être en tout et pour tout qu’un point et qu’un instant me laisse sans voix. Dérouté de cette relativité écrasante, je m’empresse à subjuguer ma circonférence d’un réel immédiat bien tangible et bien lourd.
3 février 2008

1602 -

1602 -
Lorsque le soleil n’est pas au rendez-vous, il faudrait pouvoir plier les nuages et ranger le ciel dans son armoire à patience dans l’attente d’un temps plus audacieux. Et puis, fermer les yeux, s’allonger tranquillement sous ses paupières pour regarder...
3 février 2008

1601 -

1601 -
Le plaisir est cette dépense de soi à accomplir la chair sans culpabilité au mépris de l’ascétisme mutilant des ferveurs platoniques. Revendiquer la libération des sens pour inventer l’idée d’une nouvelle relation de soi au monde apprivoiser une vie sans...
3 février 2008

1600 -

1600 -
On reproche à l’autre notre propre souffrance. Ainsi ce n’est pas tel ou tel mot dit ou telle ou telle attitude blessante qui nous font être mal, mais notre fragilité déjà existante à cet endroit et notre incapacité à nous en protéger.
3 février 2008

PAVESE - Journal intime

« Tu seras aimé, le jour ou tu pourras montrer ta faiblesse sans que l'autre s'en serve pour affirmer sa force ».
3 février 2008

JANKELEVITCH, Le sérieux de l'intention :

« Entre l'intention et l'acte il y a l'abîme de l'effort personnel, et nul autre que moi ne peut le franchir à ma place ».
3 février 2008

Sigmund FREUD :

« Les illusions s’imposent à nous parce qu’en nous permettant d’éprouver du plaisir elles nous épargnent bien des peines. Par conséquent, nous devons accepter sans nous en plaindre qu’elles soient réduites en miettes lorsque parfois elles se heurtent...
3 février 2008

MAETERLINCK :

« Si l'être que j'aime le plus au monde venait me demander quel choix il lui faut faire, et quel est le refuge le plus profond, le plus inattaquable et le plus doux, je lui dirais d'abriter sa destinée dans le refuge de l'âme qui s'améliore ».
3 février 2008

BERNANOS Georges :

« Nous ne sommes pas responsables de la manière dont nous sommes compris, mais de celle dont nous sommes aimés. »
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LA COLLINE AUX CIGALES
  • Dépotoir et déposoir de mots, de pensées... Ici repose mon inspiration et mon imaginaire ; une sorte de maïeutique effrénée et dubitative et il me plait de pouvoir partager à qui veut bien.
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