4 mars 2013
Après l’effraction.
Tu escalades la corde où mon cœur est suspendu
Sans mot dire, dans la netteté d’une émotion chavirante
Tu rejoins les cellules dormantes sous l’oreiller de plume
Où chaque caresse a laissé une griffure sur le portique
Toutes mes peurs au feu des résonances pures
Pour peu que la mort soit un dénouement sans fin
Une brisure de souffle sur la bougie du temps.
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