Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
LA COLLINE AUX CIGALES
6 octobre 2012

Prolapsus.

Le rêve me conduit aux chemins d’insouciance,

Pareil à l’enfance qui m’accompagne, assise sous les nuages.

Il m’exclue de la fatalité,

Du sort des pierres sur la colline

Il n’exige rien.

Tous les ruisseaux courent à la mer

Fontaine naturelle, les eaux glissent sur le revers de mes pensées

L’air que je respire parle avec la tempête, et je faxe à l’amour

Des tues têtes grands comme des farandoles de lavande

Immenses comme le tonnerre d’un clairon qui raisonne dans la foret

Pour annoncer que la chasse est ouverte.

Ni tout, ni rien. Rien du tout.

 

 

Publicité
Commentaires
LA COLLINE AUX CIGALES
  • Dépotoir et déposoir de mots, de pensées... Ici repose mon inspiration et mon imaginaire ; une sorte de maïeutique effrénée et dubitative et il me plait de pouvoir partager à qui veut bien.
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Derniers commentaires
Archives
Newsletter
Visiteurs
Depuis la création 207 344
LA COLLINE AUX CIGALES
Publicité