21 juillet 2011
b)
Là où la parole pèse une vie, c’est le discours qui s’affaisse et s’affale pour dire seulement la pitié que l’on s’accorde à accepter l’imperfection endémique de nos natures humaines. Vulnérable de soi autant que des autres et du monde, nous habitons la concision de nos brièvetés et le désarroi de nos tressaillements, de nos fendillements de lumière.
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