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LA COLLINE AUX CIGALES
15 février 2009

DIDEROT

« Ceux qui se sont aimés pendant leur vie et qui se font inhumer l’un à côté de l’autre ne sont peut-être pas si fous qu’on pense. Peut-être leurs cendres se pressent, se mêlent et s’unissent. »

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« […] La seule différence que je connaisse entre la mort et la vie c’est qu’à présent vous vivez en masse et que dissous, épars en molécules dans vingt ans vous vivrez en détail. »

                        - Lettre à Sophie Volland (15 octobre 1759) -

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Commentaires
B
Il a 42 ans lorsqu’il rencontre son « amante pour la vie », cette épistolière de 29ans, Louise Henriette Volland, dite Sophie. Diderot ne lui survivra que 5 mois.<br /> C’est peut-être là que les cendres donnent naissance à une forme d’éternité relationnelle et amoureuse. Mais connaissant, un peu le gaillard, probable que même devenu poussière, il continua à courir le jupon (de braise).
S
Cinq cent cinquante trois lettres à Sophie Vaillant, sa " muse "...<br /> Diderot ne lui survit que six mois aprés sa disparition, peut être leurs cendres alors...
B
Encore qu’il parle également de cendre qui se mêlent et s’unissent !
A
Eh oui, c'est parfois lourd la vie!
LA COLLINE AUX CIGALES
  • Dépotoir et déposoir de mots, de pensées... Ici repose mon inspiration et mon imaginaire ; une sorte de maïeutique effrénée et dubitative et il me plait de pouvoir partager à qui veut bien.
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