29 janvier 2009
P52 -
Sous le soupir du désir
Court l’éclair qui soulève
L’exil des chairs en trêve
A la caresse pour adoucir
Le cœur se souvient de ce qui le presse
Quel que soit l’étau qui le caresse
Et même tes lèvres qui paraissent distraites
S’illuminent d’une beauté abstraite
Lorsque l’invisible souffle le feu de l’ardeur
De la fontaine où pleut la plus grande douceur.
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