6 septembre 2008
:^^:
Je voudrais vaciller du constat joyeux d’une plainte vagabonde qui bourlingue sa détresse à l’étau des paradoxes repus de ses enserrements à comprimer l’ardeur de mes joutes danseuses de risques aux abondances des audaces sans intérêt.
Je voudrais profaner ma raison de ses vérités d’existence qui implique la résistance des accomplissements formels par défaut de fols insurgements des pitreries par lesquelles le rire fait la nique à l’immobilité et aux frasques consuméristes de l’abjection des grimaces.
Et je ris aux aboies des constellations sans étoiles, aux vasques des ciels qui ne sont que des tonneaux sans fond.
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