5 septembre 2008
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J’ai sniffé la cendre de mes oublis, et c’est la promesse des épis qui a pourvu mes blés en farine consolant la parole qui se tait.
Ma course tricheuse de nostalgie vous rend le bonheur parce qu’il est trop lourd. J’ne suis pas cascadeur aux routes des pardons, j’ne suis pas funambule sur le fil des émotions. A l’heure perdue j’offre le temps d’une pause, la lumière allumée qui attend de ses mains moites les murmures d’étranges frissons. Invente moi la peau du désir neuf, j’veux l’habiter d’errances continues et de rêves qui ne se rattrapent pas.
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