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LA COLLINE AUX CIGALES
9 avril 2008

Pensez, vous avez dit pensez !

On est parce qu’on pense. De ce que je pense j’introduits le notion d’exister. On est ce qu’on pense. Finalement, ce n’est que parce que je pense et que j’estime en être conscient que je résultes de ce que ma raison m’accorde ou m’oblige selon le cas. Je suis aussi un corps qui semble t’il pense pour lui-même instinctivement et à qui je suppose intimer l’ordre de fonctionner. On est donc tout à la fois corps et esprit. Et le lien ne s’obtempère pas systématiquement de l’un à l’autre. Que pensez vous en lisant ces mots ?
Que je pense trop ? Ou que je ne pense à rien. Pourtant rien c’est beaucoup, même quand on ne pense à rien. Dans rien, il y a de la pensée.
Mais est-ce matière suffisante pour penser ?

Pensez donc dirons certains…
Oui allez y pensez et dites ce que vous pensez…

Faites-moi sourire de ces pensées qui traversent votre esprit, là et maintenant.

Penser, raisonner serait-il donné à une “élite”?

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Commentaires
L
une élite, ça se délite
B
Tu as peut-être raison, cependant à mon sens la liberté est un embouteillage non résolu. Le mouvement s’effectue libre ou pas quoiqu’il en soit. Je ne sais si l’on s’accomplit davantage d’illusions ou de réel. <br /> On fait face à soi lorsqu’on peut, lorsqu’on sait, lorsqu’on veut, et donc pas toujours. Ne sommes-nous point des oxymorons de nos défaillances ?
.
Paradoxalement peut-être, la rêverie est l'accompagnement d'une vie qui a accédé au mouvement libre de vivre.
B
Homme libre, dis-tu... Heu, oui, c'est qui, c'est quoi ? Libre de qui, de quoi ? RIRE<br /> <br /> L'idée d'une fusion entre corps et esprit existe depuis des siècles. A ce jour, personne ne peut vraiment dire... et tout le monde souhaite cette formulation de l'ataraxie.<br /> Rêver sa vie n'est sans doute point le paroxysme de l'absolu, quoique l'imaginaire soit fécond et aide à vivre ou à compenser, ou à projeter... Reste peut-être à se délester des servitudes empiriques qui obstruent.
.
Et si penser c'était d'abord la révolte du corps contre tout ce qui l'asservit ? <br /> . Ce n'est pas la pensée mais la rêverie qui est le tempo de l'homme libre.
LA COLLINE AUX CIGALES
  • Dépotoir et déposoir de mots, de pensées... Ici repose mon inspiration et mon imaginaire ; une sorte de maïeutique effrénée et dubitative et il me plait de pouvoir partager à qui veut bien.
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