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LA COLLINE AUX CIGALES
20 mars 2008

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D’une femme allongée en sa latéralité

Face cachée, seins tus, regard à l’envers

Dort celle qui me muse et me transperce

Chevelure brune, visage immaculé, teint assumé

Seuls mes espoirs pleurent l’indicible

La peinture se rit de mon regard attendri

M’en fou, suis pas jaloux…

Mon cœur est dans sa main transparente

Et mon audace crispée, non dévêtue

Compulse ses lèvres de mes possibles

Et c’est moi qui ris de ses silences d’amante.

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Commentaires
B
Rire n'est pas se moquer. Au contraire je vois dans ce dernier une complicité.
B
La peinture ne se moque jamais de celui qui sait la regarder, elle l'entend, elle écoute l'histoire tissée de ses traits, les paraboles défroissées de ses couleurs.
.
A lire et à relire... J'aime beaucoup!
L
ma femme est une bavarde est voleuse comme une pie<br /> alors question tetines, tintin !<br /> question seins tus, ceinture !
LA COLLINE AUX CIGALES
  • Dépotoir et déposoir de mots, de pensées... Ici repose mon inspiration et mon imaginaire ; une sorte de maïeutique effrénée et dubitative et il me plait de pouvoir partager à qui veut bien.
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