20 mars 2008
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D’une femme allongée en sa latéralité
Face cachée, seins tus, regard à l’envers
Dort celle qui me muse et me transperce
Chevelure brune, visage immaculé, teint assumé
Seuls mes espoirs pleurent l’indicible
La peinture se rit de mon regard attendri
M’en fou, suis pas jaloux…
Mon cœur est dans sa main transparente
Et mon audace crispée, non dévêtue
Compulse ses lèvres de mes possibles
Et c’est moi qui ris de ses silences d’amante.
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