26 février 2008
0017 -
On ne pourra jamais penser la mort autant qu’on la vivra et le jour venu, elle sera tout autre, d’une évidence criante que seules les âmes les plus aiguisées pourront éventuellement entendre. Tant qu’on pleure le départ de nos proches nous ne pouvons en avoir une idée que confuse. C’est de notre propre finitude que l’on pourra cesser d’imaginer notre fin autrement qu’en clapotant de nos souffles retenus et de nos concupiscences à être.
Publicité
Commentaires
A