19 février 2008
1781 -
Je ne connais finalement qu’une seule version de l’amour. Celle où les âmes s’achoppent et se partagent. Mais elles sont si fragiles et si craintives qu’aucune n’ose s’extirpée de sa gangue protectrice. Il faudra alors que la mienne cultive en son jardin l’androgyne qui lui fera oublier sa solitude.
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