20 novembre 2007
Friedrich NIETZSCHE
(…) Comme le temps manque pour penser et garder le calme dans la pensée, on n’étudie plus les opinions divergentes : on se contente de les haïr. Avec la monstrueuse accélération de la vie, l’esprit et l’œil sont accoutumés à une vision et à un jugement incomplets et faux, et chacun ressemble aux voyageurs qui font connaissance avec le pays et la population sans quitter le chemin de fer (…)
Friedrich NIETZSCHE
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