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LA COLLINE AUX CIGALES
19 février 2008

1779 -

1779 -
Tu as cru bon, il fallut que … Et rien n’a eu la substance nécessaire pour que tu sois devenu autre chose que ta réalité dévastée de toute cohérence. Peut-être la folie sera le salut de ce qui se contracte du trouble de l’existence.
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19 février 2008

1778 -

1778 -
Que nous reste t’il en dehors de l’orgie des plaisirs qui inondent nos sens jusqu’à nous donner le vertige de l’illusion et l’équilibre précaire de nos doutes cirés comme des chaussures neuves ?
19 février 2008

1777 -

1777 -
Si l’amour a la force nécessaire à ne pas renoncer, il devrait être assez grand pour ne pas nous abandonner face aux terreurs violentes qui désarment la volonté.
19 février 2008

1776 -

1776 -
Ecrasé par le monde, terrassé par la puissance de la modernité, nous esquivons ce qui nous est encore possible, du joug meurtrier du qu’en dira t’on. Et à chaque passe désespérées, le public hurle : olé !
19 février 2008

1775 -

1775 -
Si se laisser aller suffisait, il y a longtemps que nous aurions accomplit nos plâtres à boucher nos fissures. Incertains de nos désirs nous compulsons l’immédiat et c’est à tâtons que nous essayons de retrouver la trace de nos élans passés. Pensant qu’un...
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19 février 2008

1774 -

1774 -
A force de croire qu’on a raison c’est toute la vie qui se joue de nous. Et sur chaque pierre de vérité le temps efface les virgules et les points pour accomplir d’autres phrases vivantes qui échappent aux certitudes d’avant.
19 février 2008

1773 -

1773 -
Tu aurais voulu inscrire de tes mots la banalité qui transige par toi pour mieux t’en défaire, au lieu de cela, tu as tu de ton silence d’outre-tombe les signes de ton désarroi. Résultat nous sommes devenus deux pierres tombales dans le désert de nos...
19 février 2008

1772 -

1772 -
Tu t’inscris en faux lorsque tu me racontes ta vérité. Tu oublies de me dire que c’est de cette subjugation dont tu es sûr.
19 février 2008

1771 -

1771 -
S’inscrire dans l’abstinence par défaut, voilà une bien curieuse manière de faire. Un peu comme si donner est sans retour.
19 février 2008

1770 -

1770 -
De nos dialogues de sourds, seul le verbe est là pour nous accompagner vers l’infini.
18 février 2008

1769 -

1769 -
A aimer je me flatte de ma connivence avec l’invisible. Le verbe est là pour m’accompagner vers l’infini tendre. Me fondre à lui c’est me plaire d’être le verbe plutôt que le sujet. Mais il est bon aussi, de s’affranchir du mensonge du bonheur en déposant...
18 février 2008

1768 -

1768 -
Je rêve d’un partout sans solution qui mathématiquement voudrait dire qu’il n’y a donc aucun problème nulle part.
18 février 2008

1767 -

1767 -
La vengeance de ceux qui renoncent est foudroyante et la rancune est acide envers ceux qui ont cru devoir espérer.
18 février 2008

1766 -

1766 -
Nous aimons plus particulièrement les vérités supportables. Les autres nous exaspèrent au point de les renier souvent.
18 février 2008

1765 -

1765 -
Saoul d’amertume, on cultive volontiers l’aphorisme de nos peurs usées pour vilipender celles des autres encore toutes jeunes.
18 février 2008

1764 -

1764 -
D’un arrangement avec l’impossible l’affectif se noie de son incapacité à nager en gardant le nez à bonne hauteur et le cœur à fleur d’eau.
18 février 2008

1763 -

1763 -
Une apparence devient réelle au moment où la croyance lui accorde sa confiance.
18 février 2008

1762 -

1762 -
La misanthropie est le résultat de notre incompréhension à nous détruire en solitaire.
18 février 2008

1761 -

1761 -
Le talent serait ce donc cette fourberie dont les autres se délectent afin de mieux accabler le dénuement de ceux dont le savoir-faire n’est qu’une parade infructueuse à leur stoïque apparence ?
18 février 2008

1760 -

1760 -
A imiter le silence, la nuit se fait muette de noir et la lune invisible face à notre béatitude et à notre admiration secrète de l’inachevé où le chaos s’insinue.
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LA COLLINE AUX CIGALES
  • Dépotoir et déposoir de mots, de pensées... Ici repose mon inspiration et mon imaginaire ; une sorte de maïeutique effrénée et dubitative et il me plait de pouvoir partager à qui veut bien.
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