Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
LA COLLINE AUX CIGALES
8 janvier 2008

1094 -

1094 -
Des grâces eidétiques les croissements peuvent déboucher sur l’espace attique des effluves de la vérité de soi qui nous semblait juste et que notre parcours a dévoyé sans le savoir pour se terminer inexorablement par le vrai qui ne nous a jamais quit...
Publicité
8 janvier 2008

1093 -

1093 -
Il est si facile de se détacher pour certain qu’aucun pli ne froisse le parcours.
8 janvier 2008

1092 -

1092 -
Les autres et moi ce n’est qu’un. De sorte qu’il m’est impossible de me débarrasser des autres sans mourir de solitude.
8 janvier 2008

1091 -

1091 -
Du sens de l’unique qui est en nous, construisons l’expression de nos affirmations .
8 janvier 2008

1090 -

1090 -
Du vivant être le rayon de soleil qui transperce les nuages. C’est en léchant la lumière q’on s’éblouit le mieux.
Publicité
8 janvier 2008

1089 -

1089 -
C’est de l’usage de nous même que dépend la jouissance de vivre et non du contexte dans lequel on se trouve.
8 janvier 2008

1088 -

1088 -
C’est d’un sourire naturel et spontané qu’il nous faut plonger dans le désespoir.
8 janvier 2008

1087 -

1087 -
Il serait heureux de pouvoir faire de la mort notre point de départ, et de se questionner sur l’intérêt de l’existence.
8 janvier 2008

1086 -

1086 -
L’absence elle-même, n’est pas une substance durable.
8 janvier 2008

1085 -

1085 -
L’avenir est ce vent qui passe et qui emporte avec lui ce que nous sommes plus.
8 janvier 2008

1084 -

1084 -
La valeur que nous accordons chacun à notre propre vie est la copie de ce que nous accordons au monde.
8 janvier 2008

1083 -

1083 -
On dispose plus aisément de son corps que de son esprit. Mais, l’un sans l’autre, c’est la dérision de l’unicité qui serait favorable à toute émancipation.
8 janvier 2008

1082 -

1082 -
La vie est ce vêtement que nous tissons chaque jour, colmatant les brèches, ajustant la taille, reprisant sans cesse l’ouvrage pour finalement le quitter en partant. On meurt toujours nu !
8 janvier 2008

1081 -

1081 -
D’un transitoire aucune règle autre que l’urgence qu’il confère.
8 janvier 2008

1080 -

1080 -
Rien n’est jamais pareil, tout change… Une idée comme une vérité, un espoir comme une tristesse, tour à tour chacun s’intervertissant.
8 janvier 2008

1079 -

1079 -
Le soleil et la lune ne se fuient pas mutuellement, ils s’accompagnent comme une pluie vide les nuages pour arroser la terre qui à son tour laisse évaporer de son humus matinal les grains d’air qui iront remplir à nouveau les nuages.
8 janvier 2008

1078 -

1078 -
La seule permanence constatée est l’impermanence manifeste. Réapprendre à se démettre de la constance c’est s’offrir à la vulve pulpeuse de l’humanitude et ce malgré la contreverse.
8 janvier 2008

1077 -

1077 -
Chaque larme de temps est aussi précieuse que la vie toute entière. L’oublier c’est falsifier sa réalité.
8 janvier 2008

1076 -

1076 -
L’aptitude à la pratique du bien ne se réveille que lorsqu’on s’est défait de toute haine.
8 janvier 2008

1075 -

1075 -
Ouvrir bien grand les yeux pour constater que ce qui est semblable n’est pas forcément analogue.
Publicité
<< < 10 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 > >>
LA COLLINE AUX CIGALES
  • Dépotoir et déposoir de mots, de pensées... Ici repose mon inspiration et mon imaginaire ; une sorte de maïeutique effrénée et dubitative et il me plait de pouvoir partager à qui veut bien.
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Derniers commentaires
Archives
Newsletter
Visiteurs
Depuis la création 207 339
LA COLLINE AUX CIGALES
Publicité