17 septembre 2011
Résidence incertaine.
Un temps de retard s’ajuste. Je te l'ai dit une dernière fois à ton chevet de mourante : « je t’aime ». Depuis, ma vie est dans l’attente déposée sur l’auréole de la tienne. Ta présence se réverbère dans le retrait où je me trouve. De l’eau se délivre...