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LA COLLINE AUX CIGALES

2 novembre 2007

67 -

67 -
Tant que ma main se souvient de la douceur de ta peau La caresse m’émancipe de ce que je ne suis pas
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2 novembre 2007

66 -

66 -
La course permanente qui conduit nos vies pour aller ailleurs Chercher le bonheur que l’on croit perdu à tout jamais Résume le vide trajet de tous les désespoirs futiles C’est dedans que le soleil plombe tout horizon Inutiles hautes enjambées qui tordent...
2 novembre 2007

65 - Il faut apprendre à purger la raison ...

65 -  Il faut apprendre à purger la raison ...
Il faut apprendre à purger la raison La raison est une prison du bien entendu moral Se détacher des entraves du bien et du mal Lâcher prise aux regards des autres Pour se souvenir que l’on existe. Même le regard des enfants curieux Nous rappelle que nous...
2 novembre 2007

64 -

64 -
LORSQUE LE CORPS PARLE PLUS FORT QUE LA RAISON LA GESTUELLE PREND LE PAS SUR L’INCERTITUDE
2 novembre 2007

63 -

63 -
Les peines qui dorment au fond de nous Empoisonnent nos racines qui se meurent Le chagrin endolori sculpte nous trous Et nos tranchées du tendre s’émeuvent Statufiés par l’empreinte de notre éducation Nous conservons malgré tout, ces émotions Sans les...
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1 novembre 2007

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1 novembre 2007

62 - Pose tes mots sur les miens...

62 -  Pose tes mots sur les miens...
Pose tes mots sur les miens Peinture mon élan de jaune citron Répond de tes yeux à mes questions stupides Embrasse mes réponses enjouées et rieuses Comme le buvard boit l’encre débordante Pose tes mains sur mon cœur Tague mes rêves siliconés de fantasmes...
1 novembre 2007

61 -

61 -
Ouvre ton cœur à la vie Ouvre ton corps comme l’on ouvre une porte Ouvre tes yeux sur le bleu de l’infini océan Ouvre tes mains pour ne rien prendre Dépose une goutte d’amour sur toutes les pierres Et regarde fleurir la douceur tiède des jours heureu...
1 novembre 2007

60 -

60 -
Si l’amour est aveugle Est-ce que l’émotion est le fantôme du cœur ? La vibration du ressenti, l’effleurement d’un soupir Portent l’onde au-delà du raisonnement Et rien ne peut faire barrage à un sourire L’amour n’est jamais aveugle Il est le magicien...
1 novembre 2007

59 -

59 -
L’amour n’est juste que dans l’immédiateté de l’émotion Dérisoire Amour-toujours qui ne se conjugue pas au présent L’espérance d’authentiques espoirs inéluctablement déçus Culpabilisent jusqu’aux prémices de la pulsion naissante La meilleure façon d’aimer...
1 novembre 2007

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1 novembre 2007

57 -

57 -
Coudre et recoudre ses fils... Une occupation qui nous occupes !
1 novembre 2007

56 - Oses...

56 -  Oses...
Ose ouvrir la paume de ta main en direction du ciel Toute prise n’est qu’un souffle de vent Ose dire oui à ton ventre qui grogne D’indigestes incompréhensions douloureuses Ouvre ta vie ouvre tes yeux Vois l’illusion d’un jour qui tombe Sans avoir pourvu...
1 novembre 2007

55 -

55 -
A s’attarder sur ses blessures La plaie gonfle plus que le mal Qui en était la cause. Dehors, il fait beau et les oiseaux Jouent dans le ciel bleu de l’été Le calme silence offre un décor De vacances illimités et mystérieuses
1 novembre 2007

54 -

54 -
La rectitude des obligations que l’on se fait A l’égard des autres nous conduit bien souvent A nous étouffer nous même avec le sourire Futiles discussions de courtoisie Qui se pose Là où l’on s’oublie Beau temps pour la saison Disait-il d’un ton fugace...
1 novembre 2007

53 -

53 -
Comme si la tête imposait le silence au corps Avec l’idée de la souffrance Qui prend le pas sur le plaisir Rien, hélas ne se dissous dans l’abstinence Le désir efface toutes les peurs
1 novembre 2007

52 -

52 -
J’ai vécu un moment dans tes yeux Une brillance lumineuse me racontait L’instant luisant de tous mes aveux Suivi de l’instant de mon ombre refermée
1 novembre 2007

51 -

51 -
Elle est stridente coiffée de bonhomie Ahurissante et farfelue Et ses prolongements sont les miens Ma bêtise
1 novembre 2007

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1 novembre 2007

50 -

50 -
Tendre frissonTon souffle contre ma joueTes lèvres dans mon cou Tu murmures à mon oreille Nos corps l'un à l'autre accrochésHors du temps, sans passéUn tendre frisson frissonne Et nous voilà légers Comme plume à notre duvet
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LA COLLINE AUX CIGALES
  • Dépotoir et déposoir de mots, de pensées... Ici repose mon inspiration et mon imaginaire ; une sorte de maïeutique effrénée et dubitative et il me plait de pouvoir partager à qui veut bien.
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