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LA COLLINE AUX CIGALES

28 novembre 2007

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28 novembre 2007

édition spéciale !

édition spéciale !
De toutes les afflictions, l’amertume en est sans doute, la déception la plus stridente. Cette explosion de douleur aigre et silencieuse à l’intérieur conduit souvent par une acrimonie indigeste, à de la méchanceté agressive ou à une sorte de désespérance...
28 novembre 2007

462 -

462 -
Aux ombres chinoises répétant la parole posée des silhouettes vivantes sur les murs des réalités invisibles, le libre arbitre de chacun s’affranchit de la volonté du pire.
28 novembre 2007

461 -

461 -
Lorsque l’onde des mots déshabille jusqu’aux racines du suave de notre conception, alors le divin se reflète seulement dans le miroir de nos émotions fleuries. Rien alors ne peut interférer à l’unisson des vibrations profondes qui composent l’infime du...
28 novembre 2007

460 -

460 -
L’instant renouvelé est souvent la parodie du simulacre et tout se meurt dans le paraître. Seule la solitude dans son isolement rétractée s’échine à persister malgré les troubles qu’occultent ce non savoir de l’être qui s’abandonne aux rituels carnassiers...
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28 novembre 2007

459 -

459 -
La rancune est une désolation sordide qui asphyxie l’esprit. Une source de gagatisme inaltérable qui déploie la méchanceté jusqu’à l’ondulation révoltée des vagues de l’océan de nos répugnances incontrôlées.
28 novembre 2007

458 -

458 -
Nous nous accommodons de nos échecs tant que nous n’en discréditons pas la cause. C’est avec désinvolture qu’il nous plait d’en injurier les effets. Nous nous dégoûtons jusqu’au supportable, faute de mieux. C’est dans l’humiliation de notre entité que...
28 novembre 2007

456 -

456 -
L’immatérielle conception des Ars Moriendi de la Renaissance ne m’inspire que le trouble constat des opposabilités infructueuses à répugner l’existence par la dépravation de ce que nos corps empruntent au sensible de nos âmes.
28 novembre 2007

457 -

457 -
Comme un légume vert en son jardin, je voudrais irradier les mauvaises herbes qui entourent mes racines. Elaguer les feuilles rabougries, laisser pousser les autres jusqu’au soleil. Je voudrais me désaltérer de la rosée nutritive des averses naturelles...
28 novembre 2007

455 -

455 -
C’est dans la corbeille du sommeil que j’éprouve la satiété du lâcher prise. Quand je dors même le rêve ne vient pas éternuer ses ébranlements. Tranquille de ce répit, je m’accorde une agonie truculente dans chaque ronflement.
27 novembre 2007

454 -

454 -
Il faut savoir profiter des instants propices au calme répit que la douceur tendre propose.
27 novembre 2007

453 -

453 -
La vérité croisse les bras quand l’erreur jouit de sa reconnaissance.
27 novembre 2007

452 -

452 -
Là où le regard s’organise, un pont se créé d’une image à l’autre dans l’irrespect d’une vision objective. Je ne vois pas ni mon cœur, ni mon âme et cependant c’est un pont de la terre à la lune.
27 novembre 2007

451 -

451 -
La mort et la vie n’osent se regarder fixement, de crainte de sombrer dans l’attirance. Il aura fallu plus d’un soleil pour pénétrer mes ombres taciturnes.
27 novembre 2007

450 -

450 -
Le silence témoigne la réticence et la pause inaudible de nos batailles intérieures. La clabauderie délivrera peut être cette interruption souterraine.
27 novembre 2007

449 -

449 -
Formel, évocateur, manifeste ; le singulier du jour qui passe grave l’impalpable manifestation de nos ressentis sur le marbre de la mémoire .
27 novembre 2007

448 -

448 -
L’improbable signifiant culbute sur l’inconscient trouble de l’hérésie de nos turbulences. Signifies moi l’incontestable afin que je m’émancipe quelque peu de moi.
27 novembre 2007

447 -

447 -
Il n’y a rien dans cet aujourd’hui qui ne soit plus plausible qu’hier a bien voulu me confier. Ce qui est latent m’agace. Là, tant il y a de l’inerte inexprimée.
27 novembre 2007

446 -

446 -
Les yeux témoignent toujours de la présence authentique de la flamme qui nous éclaire.
27 novembre 2007

445 -

445 -
L’infini est la seule toile qui tienne la route et le vent. C’est d’ailleurs gonflé d’infini que je m’élance vers devant.
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LA COLLINE AUX CIGALES
  • Dépotoir et déposoir de mots, de pensées... Ici repose mon inspiration et mon imaginaire ; une sorte de maïeutique effrénée et dubitative et il me plait de pouvoir partager à qui veut bien.
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