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LA COLLINE AUX CIGALES

5 mars 2008

0057 -

0057 -
Le temps est cette mesure qui note la fuite dont nous ne sommes que la future poussière.
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5 mars 2008

0056 -

0056 -
L’évidence est l’envers de la démonstration.
5 mars 2008

0055 -

0055 -
L’avenir est ce lieu incertain d’où l’on ne revient pas.
4 mars 2008

0054 -

0054 -
D’une supposition mon rêve refait le monde et bien à l’abri au creux de mon imaginaire, je convoque tous mes désirs pour leur accorder leurs souhaits. Le ciel est un océan, la mer une montagne, les arbres des étoiles aux mille saveurs et toi, tu m’accompagnes...
4 mars 2008

0053 -

0053 -
À chaque refus, à chaque peur de s’avouer qu’on existe, on se condamne à taire de soi la moindre parcelle de vérité. A supposer que nous soyons le vrai de notre réel, nous suffoquons d’un doute existentiel fatal.
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3 mars 2008

0052 -

0052 -
A chacune de nos petites morts, c’est notre visage et notre regard qui meurent pour donner place à une face et une vision nouvelles. L’esprit nouveau est ce prolongement qui nous tire vers plus d’étendues et de connaissances dont on se meurt par trop...
3 mars 2008

0051 -

0051 -
De son chemin ce qui importe c’est de trouver sa destination et qu’importe si le pas incertain foule la poussière d’un sol aride puisqu’il faudra courir jusqu’à plus soif et se confirmer de son aboutissement.
3 mars 2008

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Orée du printemps… les ruisseaux murmurent leur plaisir et le balbutiement des bourgeons que le soleil effleure, laissent entrevoir ce renouvellement que la vie appelle à chaque saison. Allons à la rencontre du neuf qui se présente…et cueillons cette...
3 mars 2008

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Belle plantureuse d’ocre argileuse Ton sourire léger mi douleur, mi tendresse Laisse sur ton visage l’obole fragile Du vulnérable natif que ton sang transporte. Tu es rayonnement malgré toi Lavandière aux parfums de soufre blanc Prêts à s’enflammer aux...
2 mars 2008

0050 -

0050 -
La certitude d’être dépasse et de loin toutes incertitudes à se reconnaître. Se réjouir de ce simple constat est antithèse à l’angoisse de l’épreuve de vie.
2 mars 2008

0049 -

0049 -
C’est du regard qui accorde priorité à autrui qu’il nous est donné de s’oublier pour finalement n’être que soi, entièrement soi au travers des autres.
2 mars 2008

0048 -

0048 -
Le découragement et les railleries qui l’accompagne sont les signes manifestes que nous devons changer en empruntant un chemin plus adéquat à nos aspirations. Il faut voir dans cet état non une léthargie mais au contraire une stimulation bienfaisante...
2 mars 2008

0047 -

0047 -
C’est dans le progrès de l’autre que nous pouvons sentir et reconnaître le notre.
2 mars 2008

0046 -

0046 -
Considérer l’autre comme une chose, un attribut et n’en voir que qualité ou défaut c’est le stigmatiser à notre seule convenance en ne lui concédant aucune opportunité à être par lui-même et pour lui-même et donc de pourvoir pleinement à sa progressi...
2 mars 2008

0045 -

0045 -
Lorsque nous culbutons sur une querelle, nous sommes mus essentiellement par le sentiment d’incompréhension que nous réserve l’écho. De notre argumentaire à nous clarifier, dépend notre intégration, notre acceptation par laquelle nous pouvons ajuster...
2 mars 2008

0044 -

0044 -
Ce qui nous est indispensable nous afflige d’une dépendance avilissante ou d’une adaptation joyeuse. Jubiler de ses servitudes en leur autorisant une justification heureuse nous déleste de l’emprise morale qui augmente nos angoisses.
2 mars 2008

0043 -

0043 -
Si l’amour est un frein au progrès, il est utile de le ruser sans mesquinerie et d’octroyer sa confiance davantage au bien être qu’à son seul affectif.
2 mars 2008

0042 -

0042 -
De la projection de notre a priori sur la réalité, nous la marquons de nos inaptitudes. Réduire le réel au champ de compétence que nous lui avons attribué occulte tous les défis de l’aventure que nous pourrions en vivre.
1 mars 2008

0041 -

0041 -
La femme est cette munificence qui m’a donné le jour, qui m’a accompagné à vivre. Alors il me plaira aussi qu’elle me prête ses bras pour accueillir le jour où je rendrais l’âme. J’en conviens aisément sans elle ma vie d’homme n’eut rien été.
1 mars 2008

0040 -

0040 -
Attacher à un passé qui s’imbrique à nos racines, l’initiative nous est devenue difficile. Il nous faut la rage du désir pour dépoussiérer l’élan. Et l’étonnement d’en être encore pourvu, nous désappointera tant qu’il nous faudra aussi faire face à nos...
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LA COLLINE AUX CIGALES
  • Dépotoir et déposoir de mots, de pensées... Ici repose mon inspiration et mon imaginaire ; une sorte de maïeutique effrénée et dubitative et il me plait de pouvoir partager à qui veut bien.
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