7 janvier 2012
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Je respire pour toi qui n’es de nulle part, à la fois dedans et dehors, dans le faux pas qui fait rater le seuil. Tu es ce clin d’œil sous ma paupière. Cette poitrine du songe où se retire notre histoire pour y dormir entre les dents de notre blessure. Un soleil aux rayons d’eau se couche et je dors dans un océan tout entier habillé de mille lunes. Ecoute-moi, je viens te prier dans la refonte de chaque mouvement.
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